Si je devais décrire Hanoï …

Hanoï c’est une fourmilière, un enfant qui attend Noël, le stand d’auto tamponneuse de la vogue, une cours de récréation.

 

C’est bruyant, prenant, électrisant, vivant !

 

 

 

Après un petit temps d’adaptation et de lâcher prise de notre monde ultra réglé européen,  Hanoï est rafraîchissante et nous redonne le goût de la spontanéité, et que ça fait du bien !  On retrouve nos réflexes enfantins, une curiosité au monde qui nous entoure, laissant la place à tout les possibles, sans auto-limitation.

 

 

Il n’y a qu’à visiter le marché aux fleurs à 3h du matin, pour se rendre compte que la ville ne dort jamais, elle est en action en permanence. On se sent mininuscule et à la fois entraîné par ce flot incessant.

 

 

 

Mes yeux ont été happé par la beauté vietnamienne, une beauté timide et délicate, saisissante.

 

 

Rien de plus classe que les beautés qui s’ignorent.

 

 

Hanoï m’a offert ses ruelles …

Ses temples …

 

L’amour du bo…. euuu bazar organisé (bon okay mam, je n’étais pas vraiment à convaincre !) , et surtout de nouveaux yeux (d’enfant).

 

 

Et quand on lui tend la main … elle nous salue gentiment !

 

 

Pour finir comme dirait Hanoï : « Same, Same but different ! »  – Une ville qui cherche encore son équilibre (Il dit qu’il voit pas le rapport ! Qu’il regarde la photo suivante ! ahah Mais quel humour Léo !)